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Mon ouverture au savoir

Trois nouveaux mots m’accompagnent tout au long de cette e-formation :

  • “sérendipité”, ou laisser de la place à l’inattendu, me laisser surprendre

  • “maïeutique” : acquérir une conscience des connaissances par le questionnement ou le dialogue

  • “volition”, c'est à dire l'acte de s’engager et de persévérer dans une activité d’apprentissage

Un comportement, des actions

L'ambiance est à l'entraide et à l'empathie. J'observe le moindre petit rien ; j'apprécie m’adapter à la carte de chacun, construire des relations, un territoire commun.

Les temps d’échanges en groupes sont passionnants, développent mon savoir-faire de façon exponentielle, m’aident à améliorer mon “savoir être”.

J'essaie d'être présente - dans le là, le ici, le maintenant - pour moi même et pour les autres ; je suis à l’heure, veille à avoir une attitude professionnelle…

 

Je tente d'adopter un état d’esprit positif et constructif...

Déjà familiarisée aux nouvelles technologies, j'ai une aisance avec l’outil tech.

J’utilise depuis des années la plupart des outils comme drive, powerpoint, skype, ... : je n’ai donc aucun mal à me familiariser - et prendre tout de suite plaisir - avec le slack, evocime campus, classilio, ispring, webex, moodle, etc.

 

Je n'avais pas conscience de ça, avant la formation. En revanche, je prends vraiment conscience de mon besoin de travailler mes compétences graphiques !

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Learning is experience, everything else is just information.

Albert Einstein

Ce monde auquel j’appartiens maintenant

J’ai tendance à trop vouloir anticiper ; je prends de l’avance, en téléchargeant les cours en amont pour mieux les assimiler le jour J. 

Cette technique est plutôt positive au début, mais elle cesse de l'être rapidement - la semaine où je découvre l’outil I-Spring.

L'installation et la prise en mains du logiciel sur un ordinateur qui n'est pas le mien - emprunt d'un PC pour l'occasion -  est laborieuse.

Je mets un peu de temps à m'y faire, mais une fois le stress passé, je trouve ça fabuleux.

Sachant mon temps d’essai compté, je passe du temps à  “m’amuser” avec, la semaine d’après !

Comme le dit Stéphanie, "Hier on était les boîtes de conserve du chamboule tout, aujourd'hui c'est nous qui lançons les patates ! "

J’aime quand les choses s’imbriquent, que les liens se font quasi naturellement d’un monde à l’autre, que tout à coup, on se rend compte qu'on a compris le langage !

 

Ça m’invite à pousser les murs, à traverser les passerelles de l'inconnu plus souvent.

J'ai besoin d'un but précis

Avoir des nouveaux défis à relever est important pour moi.

Une fois l’activité rendue, je passe facilement à autre chose.

 

Sur des demandes moins ponctuelles, celles où nous est laissé un long temps et est attendue une prise de distance réflexive, je peux facilement être mal à l’aise pour organiser mon temps. Et j'ai tendance à procrastiner. 

Moi qui aime écrire, j'ai, par exemple repoussé le moment où je me suis enfin lancée dans la rédaction de ce journal.

J'ai eu plusieurs fois des moments que M. Barlow H. Boissière-Mabille expliquent bien dans "Ecrire son journal pédagogique - Analyser et élaborer sa pratique" : Selon les personnes, l’écriture peut être un traitement chronique ou une médication administrée seulement aux moments de crise : brusques montées de “stress” ou - cela peut arriver aussi - bouffées d’enthousiasme débordant.

Cela vaut pour l'écriture... et pour beaucoup d'autres choses. Si la tâche est répétitive, je me lasse, si elle est nouvelle et mal expliquée - ou que je ne comprends pas l'intérêt, je stresse. 

 

Je suis consciente d'avoir une mémoire visuelle : ce qui est dit à l'oral doit m'être confirmé par écrit pour que je comprenne. 

 

Souvent, j'ai des difficultés à comprendre les attendus ; je trouve les énoncés flous, parfois contradictoires.

 

Je prends la vie comme un jeu : pour avoir envie d'y prendre part, j'ai besoin d'un but précis, et de règles...

Je ne le pensais pas... mais en fait,  je suis une "psychorigide des consignes".

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Mon envie d'évoluer, de grandir chaque jour

Parce que je n'ai pas compris ce qui est attendu, par manque de confiance en moi, ou par boulimie, j’ai tendance à toujours vouloir chercher plus loin. Alors, je suis capable de compliquer des choses au lieu de les simplifier. Et je peux perdre du temps à “couper les cheveux en quatre”.

Parfois, cette façon de fonctionner ("toujours plus haut, toujours plus loin", pourrait-être ma devise!) me fatigue moi-même :  je finis par me perdre d’un site à l’autre, avec vingt-huit fenêtres ouvertes et des dizaines d’impression-écran sur mon bureau… Cette “infobésité” entraîne une surcharge cognitive et fait clairement ressortir le besoin de simplifier, d’aller droit au but. 

L’effet de la communauté a eu un fort impact sur ce travers, sans pour autant réduire à néant l’angle de l’efficacité de l’action - rapport conséquence et but visé -, engendrant même parfois des effets pervers, contraires à l’objectif visé. 

Ma conclusion est qu’en matière de pédagogie, comme dans toute science humaine, la ligne droite n’existe pas. Ce n’est pas une science exacte où, comme l’affirme A. Einstein : “la logique te mène de A à Z, l’imagination te mènera partout”.

 

J'apprécie ce que cette formation m'a apporté pour me montrer comment m’organiser différemment, selon la consigne, le groupe, le temps imparti.

 

J'apprends l'agentivité, je combiner ces éléments en faisant de mon mieux, et je gagne en assertivité !

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